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Vous cherchez un syndicat pour défendre votre liberté d'excercice et votre indépendance professionnelle : rejoignez le SML

L'adhésion au SML est un acte de soutien à sa politique de défense de la médecine libérale.

En plus de son aide et de votre protection, le SML vous offre des avantages de plus en plus nombreux :

• Carte Butterfly gratuite : Le Club des collectivités avec de nombreuses réductions. www.butterfly-ce.fr
• Proposition d'un panel de formations variées par l'AFML, organisme de formation agréé ANDPC et FAF-PM.
• Préparation à la retraite avec le Pôle Retraite Prévoyance.
• Avec votre cotisation, le SML vous offre une garantie de 11.000 € en cas de décès accidentel. Groupe Pasteur Mutualité (assurances, prévoyance, mutuelle, retraite...).
• HSBC France, notre partenaire bancaire, vous facilite le quotidien et vous offre un accompagnement personnalisé.
• Pour vos ordonnances, agendas et papeterie, Médivia vous propose : de 15 à 25 % de réduction sur le prix public.
• Abonnement au Quotidien du Médecin : 50 % de réduction.
• Domiserve - Chèque emploi service universel (CESU)
• Radioprotection et PCR (personne compétente en radioprotection) : contrat national négocié avec des réductions financières.
• Aide de nos cadres SML en cas de difficultés dans le domaine de votre exercice professionnel.
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Ne pouvant ici décliner dans le détail toutes nos offres, vous les retrouverez intégralement sur le sur le site du SML à l'adresse : www.lesml.org :

02 Février 2018:  Négociations conventionnelles autour de la compensation de la hausse de la CSG 

La deuxième séance de négociations conventionnelles, qui s’est tenue cette semaine, a porté sur la compensation de la hausse de la CSG pour les médecins du secteur 1 et ayant signé l’OPTAM. Un groupe technique s’était réuni préalablement et avait retenu deux objectifs : assurer la meilleure compensation possible au niveau individuel et garantir son versement dans des délais rapides. Pour l’instant, il est proposé deux nouveaux taux de prise en charge. Pour les cotisations à la branche famille, un taux de 85 % (au lieu de 75 %) pour les revenus inférieurs ou égaux à 140 % du plafond annuel de la Sécurité sociale (PASS), et un taux de 70 % (au lieu de 60 %) pour les revenus compris entre 140 et 250 % du PASS. Une même prise en charge différenciée est envisagée pour les cotisations à la retraite de base : 1,95 % dans la limite d’environ 39 700 euros et 0,28 % dans la limite de 198 000 euros.

Cette solution permettrait une compensation à 100 % pour les trois-quarts des médecins. Pour les autres, le montant de la perte irait de 1 à 205 euros. Cette solution pourrait être mise en œuvre rapidement pour 2018. Mais elle devra être réétudiée pour les années suivantes. À ce stade, aucune fumée blanche n’est encore sortie. Les discussions vont se poursuivre.

02 Février 2018:  La e-prescription généralisée dès 2019 

Le conseil de la Caisse nationale d’Assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) a adopté la convention d’objectifs et de moyens signée avec l’État par 11 voix pour, 10 prises d’acte, 6 voix contre et 8 abstentions. L’accompagnement de l’innovation numérique est l’un des cinq axes de cette convention. L’Assurance maladie veut s’appuyer sur le numérique pour améliorer la prise en charge des patients. Elle prévoit de mettre en œuvre la prescription électronique et de développer le dossier médical partagé.

L’expérimentation d’e-prescription de médicaments, lancée en novembre 2017, sera évaluée afin de préparer son déploiement à compter de 2019 et de l’étendre aux examens biologiques et aux actes des auxiliaires médicaux. Une étude de faisabilité sera menée en ce sens en 2019. Le SML sera très vigilant sur ce dossier pour garantir l’indépendance des prescriptions et, surtout, éviter tout contrôle a priori de la part des caisses sur le contenu des ordonnances.

02 Février 2018:  Mission congé maternité : les propositions du SML 

Le SML a été auditionné à l’Assemblée nationale dans le cadre de la mission sur le congé maternité. Le syndicat a donc pu exposer ses propositions, élaborées avec son think-tank « Femmes médecins et toutes les libérales ». Il faut d’abord assurer le maintien de l’outil de travail pendant le congé maternité, et donc motiver les remplaçants des futures mamans dans le cadre de contrats de remplacements spécifiques, assortis d’allègements de charges sociales et fiscales. Il faut également permettre aux jeunes mères de réduire temporairement leur activité en lissant l’impact financier de cette réduction d’activité par des moratoires de charge, un accès au chômage technique total ou partiel, etc.

Enfin, le SML a exposé l’injustice dont sont victimes les femmes médecins exerçant en secteur 2 hors OPTAM, puisqu’elles n’ont pas le droit aux mêmes prestations que leurs consœurs. 

Cette iniquité est inacceptable, car elle revient à stigmatiser les naissances. Cette situation ne doit pas conduire les jeunes femmes médecins qui s’installent, et dont nombre sont chefs de clinique, à choisir leur secteur d’installation en fonction des prestations maternité.